PRESENTATION - CLINIQUE - EQUIPE - ACTUALITES - CONTACT

La forme de la fesse est la résultante de la masse du muscle grand fessier apparue suite au redressement de l’homme devenu bipède, associée à la cambrure de la chute des reins.

La forme de la fesse dépend de différents composants anatomiques.

La colonne vertébrale : la position plus ou moins en avant ou en arrière du bassin influence la projection des fesses.

Le muscle grand fessier se développe par une activité musculaire soutenue ; il peut être « camouflé » par une position en avant du bassin.

La localisation graisseuse autour de la fesse est plus importante chez la femme que chez l’homme (morphologie gynoïde ou androïde). Elle définit la morphologie ethnique (asiatique,  caucasienne, latino ou africaine). Cette graisse joue le rôle de  « rembourrage » dans la position allongée sur le dos et de réserve énergétique ; sa fonte détermine le vieillissement de la fesse.

Enfin, la qualité de la peau ou son relâchement (ptose fessière)  peuvent orienter plutôt vers un lifting fessier.

La « fesse plate » est souvent mal acceptée physiquement et psychologiquement par le ou la patient(e), avec pour corollaire une altération de la confiance en soi et un mal-être, parfois profond, pouvant aller jusqu’au véritable complexe. Le lifting des fesses (gluteoplastie) permet de les relever , de les retendre, et éventuellement de les augmenter.

On peut remonter les fesses sans en changer le volume. En général, on associe donc cette intervention à une augmentation.

Selon la morphologie du/de la patient(e), il est possible d’utiliser sa propre graisse (autologue). Par liposuccion, on prélève de la graisse contenue naturellement dans le corps : abdomen, flancs, région trochantérienne, intérieur de la cuisse, face médiale des genoux et des bras supérieurs…. La graisse aspirée est collectée dans un contenant stérile , puis est réinjectée par une petite incision dans le sillon inter fessier.

Cette procédure peut aussi permettre simultanément de réduire la culotte de cheval ou les bourrelets disgracieux.
Cette procédure est définitive et très bien acceptée par le corps, mais ne donne pas un résultat aussi radical que l’implantation de prothèses.

EN SAVOIR PLUS